Valérie Borioli Sandoz

Intervenante

18:00 | Table ronde: La Paix Économique – Réconcilier la performance des organisations et le respect des êtres humains.

Diplômée de l’Université de Neuchâtel (licence ès lettres), Valérie Borioli Sandoz a débuté son parcours en faveur de l’égalité au sein de l’administration fédérale où elle a notamment présidé un groupe de travail volontaire au sein de l’Office fédéral de la statistique. Après un passage dans le domaine de la prévention du tabagisme dans le canton de Fribourg, elle rejoint Travail.Suisse en 2007 où elle est chargée du dossier de l’égalité et de la conciliation. Elle réalise plusieurs projets de services en ligne de référence (www.informaternite.ch, www.mamagenda.ch, www.info-workcare.ch) accessibles au grand public, et a initié le projet www.respect8-3.ch consacré à la lutte contre la discrimination salariale en Suisse. La conciliation s’étendant de l’enfance à la vieillesse, en passant par la maladie ou l’accident qui peur rendre dépendant·e, Valérie Borioli Sandoz a contribué à créer la Communauté d’Intérêts Proches Aidants CIPA (www.cipa-igab.ch) qui défend depuis 2019 les intérêts des personnes concernées par la proche aidance.
Membre de la Direction de Travail.Suisse, elle poursuit son engagement en faveur de l’égalité et de la conciliation et représente Travail.Suisse au sein de la Commission fédérale pour les question familiales COFF, du comité de Pro Familia Suisse et de la Commission fédérale pour la statistique fédérale.

Quelques publications:

Travail.Suisse: organisation faîtière indépendante des salarié·e·s et la deuxième plus grande organisation faîtière des salarié·e·s en Suisse. Travail.Suisse compte dix fédérations affiliées représentant 130 000 membres issus d’un large éventail de branches et de secteurs du secteur privé et du service public.

En quoi la Journée Internationale contre le harcèlement et pour l’inclusion dans le monde du travail est-elle pertinente ?

Le retour du balancier qui guette à la faveur du retour au pouvoir d’autocrates et de mouvements politiques prônant l’exclusion, et contre la tentation du « backlash », cette Journée internationale est un signal fort de notre volonté à combattre toute réduction des droits acquis et à les développer encore. Seule une société qui respecte et inclut toutes ses composantes et ses minorités et qui condamne l’exclusion et le harcèlement peut prospérer, pour le bien de chacun·e.